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Le Brassacatrail, c'est avant tout une histoire de village. Pendant tout un week-end d'avril en effet, c'est l'âme de toute une commune, en effet, qui déteint sur un trail. Et cela fait quelques décennies désormais que ça dure. Au tout début, il y avait la Ronde Forestière. C'était dans les années 90. Et depuis 2010, il y a donc le Brassacatrail. Avec son ambiance unique, avec ses parcours d'une autre planète, techniques à souhait mais tellement irrésistibles, avec son niveau de ouf aussi et quelques champions qui ne rateraient le rendez-vous pour rien au monde. Les fameux habitués. Bien sûr Maxime Durand, l'enfant du pays à la mèche rebelle, a pris un peu de recul mais l'équipe de vice-présidents qui a repris le flambeau, Sophie et Stéphane en tête, est plus déterminée que jamais. La fête d'après-course est un moment d'anthologie. Les départs au son d'ACDC, un autre. On ne s'en lasse pas. Côté résultats donc, pas de surprise en vérité. Benjamin Bellamy remporte le 12km. Sa fille gagne d'ailleurs sa distance chez les petits... Michel Rabat, même en forme moyenne dirons-nous, s'impose sur le 23km. Lui qui vient ici depuis pus de dix ans désormais. Et Cyril Pasturel a été magistral sur le long de 42km avec 2500m de D+. 4h06', il explose son propre record sur le parcours. Lui qui a été sacré champion de France par équipes avec les Esclops la semaine précédente est donc en très grande forme. Chez les féminines, on retiendra que Mélisande Muller et Marie Lacaze inscrivent leurs noms au palmarès du 12 et 23... Marie-Astrid Vrel, quant à elle, s'impose de belle manière sur le long. Mais bien sûr après la course, la journée festive ne faisait que commencer !
Plus de monde que l'an dernier. C'est ce qui saute aux yeux en premier quand on se penche sur les inscriptions de cette nouvelle édition de Pentes et Côtes. Avec un soleil resplendissant et une première chaleur bien présente, ils furent donc plus de 230 coureurs à avoir pris un dossard sur l'une des deux distances proposées, un 10 ou un 20km et aussi quelques poignées de marcheurs... C'est mieux qu'en 2023 et de quoi mettre du baume au coeur des organisateurs dévoués.... Côté résultats cette fois, on retiendra la belle performance de la famille Vannier. Maëna remporte la petite distance alors qu'elle n'est que junior et son frère Mathéo, espoir lui, termine deuxième chez les hommes. IL s'en est fallu de peu pour qu'ils réussissent le carton plein. Sébastien Trinel vainqueur du 10km donc, mettra son petit grain de sable dans le machine familiale. Sur le long, Antohny Roux et Camille Vinai sont les lauréats du jour. Tout cela se terminait, à l'ombre, par une belle remise des prix.
Pour sa 13ème édition, la célèbre course de printemps "Entre Save et Galop" retrouve de très belles couleurs en remplissant toutes ses distances et en offrant une superbe organisation aux plus de 1000 dossards distribués. On avait craint que le vent, très violent la veille sur la région, ne vienne jouer les trouble-fêtes mais il n'en fut rien. Les conditions météos étaient quasiment idéales avec une température fraîche pour les départs et pas trop soleil malgré tout pour ne pas cramer les corps... On retiendra donc une nouvelle fois que ces parcours champêtres pas si loin de la Ville Rose plaisent toujours autant... avec une diversité appréciée entre traversée de forêt, bordures de champ, single par ci par là... tout pour se faire une belle idée de la course nature dans toute sa splendeur. Côté résultats, sur la courte distance de 10km, Arthur Bador et Virginie Vilette s'imposent. Ce fut serré chez les féminines car Nassera Dhely qui a souvent gagné par là-bas finit à quelques secondes.... Sur le 14km, Anaëlle Szternaberg et Eric Rivals ont été impériaux. Sur les plus longues distances, Anthony Roux remporte le 24km et probablement Vincent Poczekajlo, le tenant du titre, sur le 34km même si il y a eu quelques petites erreurs de parcours.... Et Karine Fabre, une nouvelle fois, s'impose donc dans sa course fétiche !!
Grosse grosse ambiance dimanche dernier à Castelsarrasin pour la maintenant traditionnelle Course de Pâques (5 & 10 km route) organisée par l’équipe du Cercle Athlétique Castelsarrasinois. Avec 60% d’inscriptions en plus que l’an dernier, le Président Cédric Taurand et son équipe ne boudaient pas leur plaisir ! Faut dire qu’ils avaient fait les choses en grand cette année : un parcours super-roulant propice aux chronos grâce à la fermeture totale à la circulation de l’Avenue de Toulouse pendant toute la matinée (un grand merci à la Mairie), une arrivée sur la piste d’athlétisme, sans oublier la météo idéale et la qualité de l’accueil, café/croissants s’il vous plaît… Oui, cette jeune Course de Pâques a vraiment pris de nouveaux gallons cette année, avec près de 500 participants, si on y inclut la course des enfants. Et y’avait du niveau, car le vainqueur du 5 km, le jeune espoir du Satuc Yago Moubarik, a signé un chrono stratosphérique de 14’24, tandis que chez les filles, Anna Tronel, une cadette sociétaire du CA Balma, montait sur la plus haute marche en 18’18. Sur le 10, on est carrément descendu sous les 30’, avec Saïd Mhaimer (CA Balma) qui a mis tout le monde d’accord en 29’51, tandis que chez les filles, Fadili Saadia, du Club Athlétique Caussadais, remportait la mise avec un chrono très propre de 35’01 !
Une 8ème édition marquée par un départ des coureurs comme de 2015 à 2019 : place de l’église à RODELLE. 71 ékips dans le sas, des départs toutes les 20 secondes, et voilà les 5 coureurs répartis sur 4 parcours (dont un duo). A l’arrivée, les 4 chronos sont cumulés et les coureurs doivent patienter pendant le repas pour connaitre les résultats ! Sur chaque étape, chacun se donne au maximum ne sachant pas ce que réalisent les autres, concurrents ou partenaires… Un tracé vert de 
Pour beaucoup, c'est le rendez-vous incontournable du début de saison. Un peu comme une classique de printemps en cyclisme. Chacun sait pertinemment qu'il va souffrir tant et plus sur ces sentiers bichonnés et entretenus par une bande de passionnés surmotivés mais l'envie est trop forte. L'appel des Citadelles n'a pas son pareil. On y vient pour en prendre plein les yeux, pour passer un week-end hors du commun aussi entre pasta-party animées et repas d'après-course à refaire le monde (ou juste la course à défaut). Le Trail des Citadelles c'est bien plus qu'une simple course nature, c'est une quête ou un pèlerinage. Et à part peut-être la plus grande des distances qui n'a pas fait le plein, toutes les autres ont fermé plus tôt que prévu. Le Trail, c'est aussi, il faut le souligner, une communication en amont très "marquée" par de nombreux visuels de l'organisateur en chef himself (Michel Arnaud donc !) qui mettent tout de suite le courageux traileur dans le bain. Les Citadelles ariégeoises, comme Montségur ou Roquefixade sont autant d'atouts indéniables d'une épreuve qui a vraiment tout pour plaire. Elles sont partie du patrimoine régional. Pour ce qui est des résultats, comme à l'habitude, il y a toujours un grand contingent de costauds, voire très costauds, qui a pris l'habitude de s'inscrire à Lavelanet. On peut citer par exemple à la volée Luis Alberto Hernando mais aussi Maxime Cazajous, Nicolas Martin, Julien Chorier, Pierre-Lo Viguier, Nahuel Passerat et j'en passe.... Cette année donc sur le 10km, ce sont Guillaume Lherisson et Maena Vannier qui l'emportent sans trop de souci. Sur le 24km, Will Juillaguet, malgré un départ hyper rapide de Allan Piton, fait la course parfaite et est le seule à passer sous les 2h de course. Chez les féminines, Carlotta Finn qui a gagné la Forêt Royale en février juste à côté, remporte la mise et finit même dans le Top 10. Sur le 40km, Julien Durand a fait sa loi tout comme Sébastien Soulans sur le 55.Enfin on retiendra surtout que l'homme du jour s'appelle Johantan Coufourier qui s'offre donc la longue distance et la femme du jour, bien sûr, Silvia Triguero,, fidèle au rendez-vous et qui n'a pas de rivale à sa poigne !
C'est une petite course nature comme on les aime. La Monta Davala se dispute tous les ans du côté de Labastide Sait-Gorges dans le Tarn. A deux pas de Lavaur pour ce qui connaisse. L'ambiance y est bon enfant et les parcours bucoliques. En fait c'est tout ce qu'il faut passer pour passer un bon moment sans se prendre la tête. Les organisateurs mettent les petits plats dans les grands pour accueillir au mieux les participants et cette année encore, ils furent près de 200 à s'être passer le mot. Sur le 11km, Marie-Christine Imbert et Noël Pinel s'imposent nettement et sur le 19 km Marine Beaury et Mickaël Juricic inscrivent leurs noms au palmarès. On pourra noter la belle bagarre en masculins sur cette distance puisqu'une poignée de secondes seulement séparent les deux premiers. Sylvain Maurel finissant en 1h29'45'' contre 1h29'15''.Alores n'hésitez pas l'an prochain, venez faire un petit tour dans le Tarn !
Bon voilà, l'an passé on avait pressenti que le marathon reprenait de belles couleurs et que l'engouement y était tel qu'il ne faudrait pas longtemps à atteindre pour que le record d'origine soit battu. Et bien avec une météo mitigée cette fois entre éclaircies, gouttes de pluie et léger vent, les dossards se sont arrachés comme des petits pains. Près de 4000 en tout pour une seizième édition hautes en couleurs. Inoubliable. L'épreuve montalbanaise a fait son trou et avec son parcours hyper rapide intéresse donc de plus en plus. L'organisation conviviale et bien huilée a fait le reste avec un samedi placé sous le signe du partage. Petit village partenaire et courses enfants au programme. Comme un air de vacances sur l'esplanade du départ et des arrivées. Côté résultats, cela va aussi de plus en plus vite. Cette année, c'est de nouveau Gabriel Noutary qui s'impose sur la longue distance. Le champion de 24h l'emporte en 2h27'. Cécile Kempf était seule au monde en féminines. Sur le 10km, on pensait que Saïd Mhaimer le local allait récidiver aussi mais Pierrick Joncteur était vraiment trop fort et en 29'15'' s'offre le record du parcours. Sarah Hasni est la première femme. Enfin sur le semi où il y avait le plus de concurrents avec plus de 1600 inscrits, ce sont Jason Pointreau en 1h05'02'' (record aussi) et Dadili Saadia en 1h16'29'' qui ont survolé les débats. Une édition record donc à tous les niveaux !
