Archives 20122011 : Avril - Decembre - 2012 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre - 2013 : Janvier -
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Très jolis parcours que ceux proposés ce matin du coté d’Auragne, avec un 12 et un 22km très vallonnés, et un terrain plutôt roulant. Enfin il faut le dire vite car en plus des portions rendues grasses par la pluie de la veille, il y avait pas moins de 10 ascensions sur le parcours du 22km. Du coup il fallait avoir la caisse et les cuisses pour réussir cet exercice de fractionné. Sur la longue distance, Jérôme Amathieu (presque en voisin) du Team Running Olivan n’aura pas eu à forcer son talent pour s’imposer largement. Il prend la tête rapidement et décroche
ses camarades au train. Derrière finalement c’est Cyril Chanu de Courir Sympa Saverdun (mais désormais néo bordelais) qui prend la seconde place suivi plus tard par Nicolas Miquel quelque peu affaibli. Sur le 12km, c’est Sébastien Perrier (Running Olivan aussi) qui fait parler la poudre et s’impose devant Jean Claude Mougnibas. Concernant les féminines, Nadine Allier s'impose sur le long et Valérie Revel sur le court. En tout cas la course s’est déroulée sous un soleil radieux et avec une belle organisation, le tout dans une ambiance populaire qui aura attiré pas loin de 250 participants, soit le record pour cette manifestation!
C'est tout d'abord la météo qui aura beaucoup fait parler d'elle lors de ce week-end consacré au 34ème marathon d'Albi. Car le vent qui a soufflé avec force le samedi durant toute la journée ne laissait vraiment rien augurer de bon... Mais dans la nuit tout aura viré finalement à la pluie et après les trombes d'eau, c'est finalement un petit soleil qui attendait les courageux coureurs du dimanche matin. Avec donc pas de vent du tout et une température fraîche vraiment idéale... Ils furent une nouvelle fois un peu plus de 1500 à s'être donnés le mot. Répartis inégalement sur les trois distances proposées. C'est le semi qui regroupe comme d'habitude le plus de monde avec 670 inscrits contre un peu plus de 400 sur le 10km et le reste sur le marathon... Mais prenons donc les courses dans l'ordre chronologique des arrivées. Sur le 10km, le jeune papa Ludovic Calastrenc, venu de la Roche sur Yon mais originaire du coin, a fait très vite la différence. Il voulait passer sous la barre des 33'. Ce sera le seul à y parvenir. Patrice Sanchez et Habib Benama sont derrière. Florance Longuemart venue elle avec une grosse délégation narbonnaise est première féminine en 38' et quelques poussières... Sur le semi, un homme va étonner tout le monde, il s'agit bien d'Abdelkader Lasfar. Celui que l'on a l'habitude de voir dans la région et qui doit enchaîner avec les 10km de Balma mardi est en grande forme. C'est lui qui va partir en tête sur l'ensemble du semi et marathon. Il passe son 1er kilo en 3'03''. Incroyable. Il finit donc tout seul son périple en 1h07'48''. Si il avait été à la bagarre, sûrement le chrono aura avoisinné les 1h05'. Ouf ! Derrière lui Mathieu Brulet du SATUC est bien loin. Mais en 1h13', il obtient sa qualif pour les Frances. C'était son objectif. Et surtout il a bien résisté aux retours de Nourredine Laiddi et GuillaumeLacclergue, ces deux mêmes qu'il avait doublé vers le 8ème kilo... Chez les féminines, Maria Fedosseva, était aussi du lot. A 42 ans, elle avouait être déjà venu trois fois à Albi. Une fois sur le marathon où elle avait fini 3ème, une autre sur le 10km qu'elle avait emporté et enfin aujourd'hui avec une victoire sur semi. Sur la distance reine enfin, le plateau était cette année des plus alléchants. Et un homme va faire parler la poudre. Il s'agit en l'occurence de l'Ukrainien, Sergeii Marchuk.
Il a pris ses reponsabilités vers le 25ème kilomètre à l'entrée du premier tunnel. Il était jusque là accompagné des deux Kenyans, Bitok et N'Geny et de l'Algérien Belmokta. Finalement il va réaliser un chrono énorme de 2h18'. Le record n'est pas battu évidemment. C'était en 2h15' il y a pas mal de temps déjà mais le parcours n'était pas tout à fait le même non plus....Chez les féminines, il n'y a pas eu photo. Immaculate Cherutai, la tenante du titre, écrase la concurrence en 2h45' et 9ème place au général. Enfin, on ne peut conclure sans parler des régionaux. On attendait en effet beaucoup de nos amis, David Lorrain, Laurent Redon et Patrice Bruel. Qui avaient préparé au mieux le rendez-vous, du moins pour les deux premiers cités. Laurent sera le mieux classé avec une 7ème place et un chrono de 2h40'54''. C'est son record. Il aurait voulu passer sous les 2h40'. Patrice finit 8ème en 2h43'. Mais il avouait avoir fait une semaine énorme en vue de préparer un cent bornes. J'ose même pas vous en parler. Enfin David, parti le plus vite des trois, va craquer à partir du 30ème kilo. Il finit plus loin en 2h48' et une 12ème place. Un peu déçu donc ! Mais ainsi en va-t-il de l'histoire du marathon, où tout n'est jamais écrit à l'avance. Et c'est bien pour cela que l'on aime tant cette épreuve !
Le muscle contre la plume. Frédéric Lureau, le prof de culturisme du Team 12 ne s’est pas défait si facilement du poids plume, Guillaume Girma, 20 ans, lancé à ses trousses et collé tel un sparadrap à ses basques. Sur les toboggans de Pouvourville, Fred envoyait toute sa puissance sur les parties descendantes quand Guillaume, plus léger, comblait son retard dans les exigeantes ascensions. En retrait, troisième, Frédéric Laforgue, alias Titou, n’a pas perdu pas une miette du duel de tête. Chez les féminines, Houria Fréchou s’impose sans forcer, oserait-on le dire. Elie Crouzil et Christian Laforgue peuvent se montrer fiers, la vingt-cinquième édition des 10 km des Hauts de Pouvourville a enchanté presque trois cents participants. Et ce n’est pas la centaine de super lots distribués qui me fera démentir. Sympathique course, vraiment.
Un peu plus de 250 coureurs se sont retrouvés du côté de Maxou pour le traditionnel Trail du Facteur, cher à Nicolas Lafuste. Ce n'est peut-être pas énorme mais entre la concurrence et le week-end à rallonge, c'est déjà pas si mal. Et du coup, De Barros Christophe a pu prendre sa revanche sur l'année dernière où il avait fini seulement troisième. Il devance Nicolas Goux de quelques secondes seulement sur le long parcours de 18km. Chez les féminines, sur cette distance, Sylvie Hascoët a fini largement détaché devant Emmanuelle Brothier. Sur le 10km, on retiendra que Damien De jesus gagne encore. Il s'impose cette fois en 39'15'' devant Patrice Cazagou et Maryam Resseguier a été aussi la plus forte en 48'28'' juste devant Pascale Lacoste...
Malgré la pluie et les élections le Trailou de la Muse à Saint-Beauzély (Aveyron) a attiré prés 350 participants le dimanche 22 avril. Sur un parcours boueux et glissant dans les descentes, qui a nécessité la plus grande vigilance, Guillaume Chabert de Mende s’est imposé dés les premiers kilomètres sur le 21 km .Il remporte l’épreuve en 1h42 sur ce parcours qui présentait un D+ de 1035 mètres.Loins derrière, sur le podium, deux millavois Philippe Renaudie et Thierry Vayssade. Sandrine Faget (Magrin-12) de se classe 1e féminine en 2h29. Sur le 14 km, c’est Frédéric Boissière de Saint-Beauzély, licenié au S.O Millau et membre du comité organisateur qui l’emporte en 1h07 devant Maël Alric d’Albi et Jean-Marc Connan de Marvejols(48). La première féminine est Aline Lautard de Lapanouse (12) en 1h27. Ces conditions atmosphériques particulièrement difficiles n’ont pas empêché les trailers a apprécier la beauté des circuits essentiellement sur monotraces dans cette vallée de la Muse.
Les années se suivent et ne se ressemblent pas... A Montgiscard, malgré les élections et malgré donc une météo annonçée comme morose et pluvieuse, et bien le record de particpants a été carrément explosé... On est passé de 240 coureurs à presque 300 cette année. Sans parler de la vingtaine de marcheurs partie une heure avant sur le 10km et d'une centaine d'enfants lâchés dans les rues du charmant village du lauragais juste avant la remise des prix... Bref il n'est pas tombé la moindre goutte d'eau et un léger soleil aura même fait son apparition. Quasi idéal donc pour courir ! Et la convivialité a fait le reste. Des organisateurs hyper sympas avec à leur tête Xavier Mengual aux manettes, un bras en écharpe malgré tout, un petit village où c'était le jour de marché et le décor était planté. Il faisait bon prendre son temps pour ce week-end plutôt tourné vers la politique... Côté course, et bien, si le 5km était plutôt ouvert, le 10, lui a accueilli pas mal de bons athlètes régionaux. Ainsi le Team Running Olivan, tout récemment restructuré, était venu en force. On dénombrait sur la ligne de départ Jérôme Amathieu, Thomas Moreau ou encore Sébastien Perrier... La bataille promettait d'être relevée, surtout que Nourredine Laaidi faisait office de grand favori au vu de ses chronos passés. Mais le premier a se mettre en action n'est autre qu'un jeune espoir de Conduire Juste, Grégory Bé. Il part bille en tête. Thomas et Jérôme sont à trente mètres... Mais l'autre particularité de ce parcours, c'est sa difficulté avec une accumulation de petites bosses pas toujours évidentes à négocier. Et aussi de nombreuses portions dans des chemins un peu humides, parfois glissants... Sur le 5km, après la bifurcation des deux parcours, vers le 2,5 km, 
Rémy Jégard se retrouve en tête. Il est talonné de près par Nicolas Martin qui s'est remis à la compétition après un an d'arrêt.... Cela se jouera dans le dernier kilomètre où Nicolas craque un peu... Rémy gagne donc cette distance. Fleur Nadal, qui vient tout juste de remporter le 20km des Citadelles, avait elle aussi opté pour la courte distance. Elle gagne donc aisément en prenant une belle sixième place au scratch. Impressionnant... Sur le long pendant ce temps, Jérôme et Thomas ont repris le jeune Grégory en tête et Nourredine s'est rapproché. Tout reste encore à faire. Puis Thomas, qui lui s'est juste remis de son 73km périlleux des Citadelles, va faire la différence dans les côtes. Il franchit la ligne en 37'23'' avec une dizaine de secondes de mieux que son pote Jérôme. Le Team Running Olivan a donc de nouveau fait parler la poudre ! L'espoir, Bé, complète le podium. Sébastien Perrier, lui aussi, du Team Olivan, est premier vétéran 1 et Serge Planton, premier vétéran 2. Chez les féminines, Brunilde Girardet a été le plus véloce en 51'05''. La première vétérane 1 est deuxième de la course. Il s'agit de Maire-Anne Debingt... Mais vraiment ce fut une belle petite matinée de course du côté de Montgiscard avec une grande paëlla et un tirage au sort en conclusion pour tous ceux qui sont restés trainailler... avant d'aller vôter ! 
Record battu pour la sixième édition de la Caminadour où marcheur et coureur auront pu participer dans des conditions atmosphériques assez bonne au vu des conditions de la semaine avec vue sur les pyrénées enneigées. Le parcours longeait l'Adour au gré des gravières . Dés le départ Lilian Médus prend le large devant l'espagnol Josep Cuner Litges et l'auscitain Henryk Sobinski. Derrière un quatuor menait la chasse mais se retrouvait à près de 2 minute . Finalement Lilian bouclera le parcours en 39'02, établisant la nouveau record avec 2 minute d'avance sur son poursuivant alors qu'Henryk gardera 45 secondes d'avance sur son poursuivant Philippe Broyer auteur d'une belle remontée. Chez les féminines, Sabrina Leturque aura dominé l'épreuve devant claire Lousteau et Angélique Sengele. L'épreuve comptait pour le challenge Foulée 32 permettant à Philippe Broyer de confirmer sa première place devant le lauréat 2011 Henryk Sobinski avant la prochaine épreuve à Pouvourville le week-end prochain !
Un mauvais temps annoncé, un superbe soleil jusqu'à 17h00 et ensuite un déluge pour enfin partir sans trop de pluie. Une météo qui en aura fait reculer plus d’un, sans compter ceux qui récupèrent encore des Citadelles et un certain désintéressement des clubs ariègeois... Une légère déception pour les copains de Cyril Boineau qui se mettent en 4 pour accueillir dans le Couserans cette unique course de nuit... Le réconfort viendra des 130 marcheurs présents et décider d’affronter ce parcours revisité avec un départ “ très pentu “ de LACOURT,
la récompense au bout de leur parcours avec la soupe à l’oignions - encore plus appréciée dans ces conditions. Certains ayant fait le déplacement depuis Pamiers pour la découverte de cette activité nocturne. Côté sportif, Eric Destrade très en forme en cette période suivi de Fabien Fachin tous 2 couseranais et Sébastien Decombe. Venu spécialement de Tournefeuille en famille pour compléter ce podium. A noter el bon retour de Jean Vincent Prat en ce début de saison, quia eu beaucoup de problème avec ses lunettes – buées-pluie et quia du finir au juger... Chez les féminines, Ludivine Pujol Dax – Fatima Chaabani et Marika Goubert se partagent les 3 places du podium. Il en faudra plus pour faire abdiquer les organisateurs qui vont redoubler d’effort pour reconquérir un public ... 
Sous un ciel très couvert , le trail de Dours a était très apprécié par les coureurs malgré les difficultés du terrain recouvert de boue .Toutes fois très bonne ambiance avec un trail de 18 kms ,10kms, une randonnée de 10 kms et une course enfant de 1,5 kms . Un vin d honneur ainsi qu'un repas ont clôturés cette journée. En tout ce sont près de 300 personnes qui se sont retrouvées sur les différentes distances proposées. Fabien Nabias remporte aisément le 18km mais on note aussi la troisième place de Yves Tabarant. Pourtant vétéran 3 !! Sur le 10km, Cédric Couderc est devant mais Jean-Jacques Rives s'est bien battu...
Superbe 3e édition que cette Course des Coteaux de Mirabel avec toujours plus de monde (125 coureurs cette année) attirés par le profil spécifique de ce parcours tout en rondeurs... parcours rallongé de 600 mètres environ désormais, avec un petit tour de village en prélude à la longue descente aussitôt suivie d'une longue montée, elle-même suivie d'une succession de bosses, suivies d'une autre descente, puis de la sévère montée de Rosy... Bref, on l'aura compris, cette épreuve se mérite ! D'ailleurs, le « Kényan de ch'nord » Damien Bevenot l'a bien compris puisque, revenu sur son ancien terrain de jeu, il a conquis fièrement la victoire après celles de Romain Courcières et de Sébastien Nodari lors des éditions précédentes. Damien qui peaufine au passage sa participation à la Course du Maroilles du 1er mai prochain car il a l'intention de ramener une pleine voiture de son fromage préféré de ch'nord. Donc le Damien en question (Team 12) avait prévenu qu'il ne laisserait personne lui voler sa médaille... qu'il remporte vaillamment et sans discussion possible en 36 min 30 s (17,42 km/h de moyenne) devant David Even (39:19) du 17e RGP et Julien Deffrene (41:12), lui aussi du Team aveyronnais. Victoire de Patrick Antoine en vétéran 1, juste derrière Julien Deffrene. Mariam Ressegiuer s'est imposée elle en 46 min et 10 s devant la Montalbanaise Nicole Carrendier (47:03) et la Caussadaise Laure Vérines (50:55). On n'aura pas oublié les courses pour les enfants qui se sont déroulées juste avant celles « des grands ». Organisation sans faille du Good Running Mirabel dont le Président Pascal Le Bris peut se vanter d'avoir désormais porté à maturité une épreuve de plus en plus courue... On ne regrette qu'une chose, c'est qu'il n'ait pas commandé un p'tit rayon de soleil en cette matinée un tantinet grisâtre et ventée... mais là il parait que ça sort de ses compétences !
Entre Save et Galop pour sa troisième année d'existence seulement, faisait partie du challenge Lévy-Running Mag-La Dépêche qui concerne donc les trails du Challenge Serge Lévy. Aussi sur les trois distances proposées, un 6, un 14 et un 22 km, c'est la "moyenne" qui était retenue logiquement pour le challenge et c'est bien là que l'on retrouvait le plus de monde. Environ 200 coureurs, alors que sur les deux autres distances moins de cent cinquante "traileurs" se répartissaient équitablement... Ce qui donna au total dans les 350 partants, très proche en fait du chiffre de l'an passé, mais la météo maussade et surtout la pluie qui est tombée dans la matinée sur Toulouse en aura sûrement démobilisé plus d'un... Les membres du COSV, association organisatrice donc de l'épreuve, étaient en tout cas plus motivés que jamais, Pierre Vincent, leur responsable en tête. Avant de se mettre sur leur poste de contrôle, un bon "graillou" les attendaient dès 8h du mat sur le terrain de sport de la Save où 
Pour cette 10 ème et dernière édition la météo n’était pas trop de la partie, un vent glacial mais pas de pluie, on retiendra la grande bagarre entre les 2 individuels Henryk Sobinski et Nicolas Berios la victoire revenant au premier cité pour 3 petites secondes, chez les relayeurs la paire Cabannes / Dorleac n’ont pas eu de problème pour s’imposer sur les seconds et habitués du taco club d’Aucanville, tous les coureurs ont rejoints Saramon sans encombres et ont pu déguster le foie gras et vin blanc juste avant la remise des récompenses et le repas, nous remercions toutes les personnes qui ont depuis 10 ans participés pour l’organisation de cette course en attendant peut être un repreneur pour une 11 éme édition?
Bon l'ultra trans aubrac est loin d'être fini à 15h de l'après-midi. Pourtant on peut déjà dire que la météo était nickel au départ et qu'en ce moment il y fait bon courir... Ils étaient presque 500 en tout répartis sur les deux distances. Et si ceux du 50km (le Capuchadou) sont déjà arrivés au bercail, ceux du 105 sont toujours sur les sentiers de l'Aubrac... Parmi eux, notre ami Jacky, envoyé spécial de choc pour l'occasion, nous a envoyé par le biais de son I-Phone (et oui on arrête pas le progrès!) des nouvelles en live. on ne pouvait pas ne pas vous en faire profiter. Photo sur le parcours et petite vidéo "rigolote" comme un clin d'oeil. Et c'est finalement Adrien Séguret qui a inscrit son nom au palmarès de la course après Thomas Lorblanchet (2010) et Patrick Bohar (2011). Il finit en 10h23' avec vingt minutes d'avance sur le deuxième, Benjamin Beaume... Sylvain Mallet remporte à nouveau le 50km après un bon début de saison. Et Anne-Lise Rousset gagne chez les féminines...Jacky lui a terminé en fin début de matinée, après avoir trouvé de la neige sur l'Aubrac et oui ! 
A Técou (petit village tarnais situé dans le vignole gaillacois), avait lieu cette année la deuxième édition de la Técounaise en ce Lundi de Pâques. Une course agréable mise en place depuis donc 2011 par la comité des Fêtes du village. Au programme un 6 et un 10km sur lesquels une petite centaine de concurrents firent le déplacement (soit sensiblement le même score de l’année d’avant). Côté terrain, c’est un circuit légèrement bosselé de 10km alternant portions de route et sentiers herbeux, que la plupart des concurrents ont emprunté avec sur le final de la longue distance une belle petite montée pour revenir dans le village. Côté course, Nicolas Miquel se fait la belle dès les premières portions de sentiers et ne sera plus jamais rattrapé. Bernard Buffel (2°) puis Le Sert Aurélien (3°) terminent 2 minutes plus tard. Chez les femmes, Marie Fournials s’impose sans difficulté. Sur le 6km, parti au même moment, Jean-Pierre Julien (un des organisateurs du Trail de l’Albigeois) tire son épingle du jeu et s’adjuge la courte distance et c’est Emilie Couderc qui l’imite chez les femmes.
En une dizaine d'années d'existence, et ce fut assez rare pour être copieusement souligné un peu partout, l'an passé le Trail des Citadelles s'offrait un généreux soleil et le parcours était sec. Comme jamais. Cette année, pour sa treizième édition, on y aura cru jusqu'au bout. Ou presque. la semaine qui a précédé la course était quasiment estivale dans le sud-ouest et l'Ariège n'échappait pas à la règle. Pourtant quand nous avions joint Michel Arnaud, le dynamique organisateur, au téléphone quelques jours avant la date, il nous expliquait tout de même qu'il fallait se méfier et ne pas vendre la peau de l'ours... Bref samedi soir, à l'heure de la traditionnelle pasta party, cela n'a pas manqué. La pluie a fait son apparition et avec elle son lot d'orages incessants et déchirants... Cela aura duré une longue partie de la nuit et le parcours a été le premier râvi de pouvoir se rassasier ainsi d'une eau qu'il n'avait plus goûté depuis bien longtemps. Le Trail des Citadelles pouvait donc bien avoir lieu. La tradition était respectée et les sentiers de nouveau boueux à souhaits. C'est fou ce que l'état d'un terrain peut changer d'un jour à l'autre en Ariège ! Du coup, même si il n'a quasi pas plu durant toute la journée du dimanche, en tout cas, les conditions étaient difficiles et beaucoup des 1500 coureurs inscrits (le quota max était atteint largement avant la date !) rejoindront donc Lavelanet ereintés; épuisés... Tout comme moi d'ailleurs ! On retiendra donc au niveau des courses que sur le 20km, il n'y a guère eu de surprises, Michel Rabat, l'habitué des lieux, qui a rejoint donc lui aussi le Team Salomon, s'impose sans souci. Il est parti très vite en tête et a lâché son compagnon, Jérôme Amathieu, qui est né pas loin de Lavelanet, du team Running Olivan, avant même le début de la bosse vers Lavelanet. Il finit avec 3 minutes d'avance sur Jérôme qui lui même a gardé 3 minutes sur Eric Destrade. Chez les féminines, Fleur Nadal a bataillé ferme pour venir à bout de Joëlle Bassi... Sur le 40km, un homme a survolé les débats. Et on peut bien avouer que c'est un "revenant" en terre ariégeoise. Claude Escots, que tout le monde connait bien dans le coin, installé du côté du Pays Basque depuis quelques années, a fait un crochet sur les longues distances et puis depuis l'an passé, voyant qu'il n'arrivait pas à ses fins dans ce domaine, malgré tout de même un énorme palmarès, a décidé de se remettre un peu sur du court. Si l'on peut dire. Bref cette année, il réalise des prouesses et après une belle saison de cross, il est lui aussi parti quasiment d'entrée sur cette distance, ou presque puisqu'il reprend Patrick Bruni du Team Brooks, avant d'attaquer 
la grande montée vers le château de Montségur. En haut il a déjà une bonne minute d'avance et il finira son périple en 3h46', ce qui est, au vu des conditions, un vrai exploit. Les deux derniers vainqueurs étaient à chaque fois plus proche des 4h. D'ailleurs tout le monde est allé beaucoup plus vite cette année sur le 40km. Emil Hrnciar, espagnol en vadrouille, finit deuxième. Bruno Bareilles vainqueur en 2010, troisième. Célia Tajada Vitales, elle aussi espagnole, survole aussi sa course en 4h56' contre 5h22' pour Soraya Lafuente, la deuxième... Enfin sur le 73km, particulièrement relevé cette année, ce fut une bataille de chaque instant. D'habitude aux Citadelles sur cette distance, on a l'habitude de voir un coureur tout seul faire son show. On se souvient de Lorblanchet, d'Oscar Perez ou même de Bruni... Là ils vont rester très longtemps trois en tête. Et pas n'importe qui. Julien Chorier, double vainqueur de la Réunion, Iker Karrera, deuxième l'an passé à l'UTMB et tenant du titre (tous deux du Team Salomon), Maxime Cazajous (du team Brooks), l'homme en forme du moment qui enchaîne les victoires dans le sud de la France et qui tentait là son premier "long". Puis Maxime va tenter crânement sa chance. Iker veille au grain et ne perd jamais plus que deux ou trois minutes. Sur la fin tout s'accélère. Iker passe en tête. Maxime craque un peu. Julien arrive à le passer dans les cinq derniers kilomètres. Et il finit même sur les talons d'Iker... Moins d'une minute les séparent au finish. Vraiment du beau spectacle. Véronique Chastel gagne chez les féminines en 8h42' contre 8h44' à Leire Iruretagoyena Otegui. Là aussi ce fut une belle empoignade ! Mais mon Dieu que ce parcours est difficile et semé d'embûches... et aussi d'une beauté extraordinaire et toute cathare. On en redemande !
Temps parfait pour cette 8e édition de « La Calamanaise », frais juste comme il faut avec toutefois un petit vent parfois contraire, avant que le ciel ne s'éclaircisse en fin de matinée. 61 engagés sur le 8 km et 80 sur le 14 km. Circuits inchangés par rapport aux éditions précédentes. Sur la plus courte distance, victoire et arrivée commune pour le jeune espoir local Damien de Jésus qui promet beaucoup et du vétéran lot-et-garonnais Thierry Merland venu ici découvrir pour la première fois le circuit. Ils devancent Jean-Luc Fernandez de plus de 2 minutes et Benjamin Laloux, encore cadet et également figure montante lotoise, de 4 min 30. La Cadurcienne Valérie Galtié enlève la première place chez les féminines devant Christiane Jeannin. Pas de problème pour le vétéran Alexandre de La Tramblais qui, comme prévu, remporte le 14 km en 50 min 20 s (à 3 s de la paire Nodari/Laloux victorieuse en 2011, et 4 minutes de mieux que son dernier chrono sur ce même parcours il y a 2 ans, mais à plus d'une minute du record du Briviste Serge Bossavie établi en 2008 
en 49 min 08 s). Il est suivi 2 minutes derrière par le Villefranchois Jean-Christophe Batut, puis du Britannique de Londres Christopher Chataway en vacances dans la région, chassé par Jérôme Saillens qui termine finalement à la 4e place du podium. Mariam Rességuier enlève une nouvelle fois la première place chez les féminines avec un chrono de 1 h 01 min 55 s, devant Geneviève Nastorg et les jumelles Sylvie et Nicole. Sympathique et richement dotée remise des récompenses avec notamment, puisque les courses ont eu lieu le jour de Pâques, des coupes en chocolat du plus bel effet (et du meilleur goût puisque concoctées par un célèbre pâtissier de Cahors...). Des victoires et des « casseroles » à savourer avec encore plus de plaisir !
C’est donc bien à Bessière que Frédéric Laforgue (Mr "Pouvourville" comme beaucoup le connaisse dans la région) a marqué significativement son retour à la compétition. Souvent blessé ces derniers temps et donc absent du monde de la compétition (mais déjà 2° au SATUC), Frédéric a d’entrée pris les rênes de la course. Seul Nicolas Miquel (tenant en titre) parviendra à rester au contact mais au prix d’un inexorable jeu d’élastique dans la première partie accidenté du parcours. Mais finalement, dans la 2nde partie plus roulante Frédéric accélère et ne sera plus inquiété, avec un très joli chrono à la clef. Nicolas termine donc second, et derrière c’est Christophe Lenfant qui prend la 3° place en résistant au retour du 1er vétéran en la personne d’Elyan Sevely (V2, s’il fallut le signaler). Chez les femmes, Marlène Privé Mosso se fait un petit plaisir et l’emporte donc, mais Laurence Pavy (2°) ne finit qu’à quelques secondes. En tout 130 participants ont pris le départ de cette édition 2012 de la course de l’omelette de Bessières. Une participation quasi doublée par rapport à 2011. On ne peut que souligner la vraie convivialité de la course avec des cadeaux pour tous les participants, un véritable buffet d’arrivée (qui vaut le detour à lui seul) et une remise des prix conviviale, tout ça en quasiment moins de 2 heures s’il vous plait. Du coté de Bessières, c’est sur la mécanique est bien huilée et on ne peut que les en féliciter. Il ne leur manquait presque que le soleil pour que le succès soit total.
Les championnats de France sur route du 10km avaient lieu ce dimanche à Roanne. Et de nouveau ils auront mis en exergue un suprenant champion régional, en la personne de David Gosse du CA Balma qui confirme donc son "explosion" au plus haut niveau. Il bat une nouvelle fois son record avec un 30'32'' sur un parcours pourtant pas facile. Bref on ne reviendra pas ici sur toutes les perfs de David de la saison puisqu'on l'avait croisé notamment à Blagnac pour sa première marque sur la distance, mais là avec une seizième place au scratch, il monte sur le podium en espoirs et repart 
avec une belle médaille d'argent autour du coup. Cela ne doit pas nous faire oublier qu'un autre garçon est bien en forme actuellement, il s'agit de Nicolas Fernandez. Lui qui vient de battre son record sur 10km à Auch (29'35''), il y a deux semaines, finit juste derrière David à quelques secondes. Et donc finit aussi dans le Top 20 de la compétition et même Top15 si on enlève les étrangers qui avaient pris part aux championnats de France... Bref les deux potes sont vraiment les deux "gars en forme" de ce début d'année. Et mon petit doigt me dit que ce n'est pas fini...
Voilà une bien belle initiative qu’il convient de saluer et d’encenser. Six jeunes de l’école de commerce de Toulouse, Simon, Maxime, Gwennite, Pauline, Jérôme et Margaux ont créé dans le cadre de leur projet d’école le délirathon. Et ce n’est pas une mauvaise farce de 1
Les côteaux d'Aureilhan, c'est avant tout un Petit Trail sympa avec deux petites côetes , une avec un dénivelé de 70 m et la deuxième un dénivelé de 90m, qui vous l'aurez donc compris, lui ont donné son nom. Tout cela se déroule dans une bonne ambiance et un bon accueil. L'organisation et les bénévoles sont au top. Le parcours très bien jalonné qui ne permettait aucune erreur d itinéraire aux participants. Pascal Renou s'impose donc devant Victor Vicente sur le 15 km alors que Rudy Bastelica gagne le 7km devant Emiliano Barahona.... La météo était également au top ! Dommage donc qu'il n'y ait pas eu plus de monde tout de même !
Et oui c'est la grosse performance du week-end !! Stéphane Pélissier, marathon man, n'a pas laissé passer une nouvelle fois sa chance sur les 24h de Portet. On se souvient qu'il avait craqué dans les dernières heures l'an passé, cette fois, il a tenu le choc jusqu'au bout. Il finit avec 227 km au compteur. C'est tout simplement admirable. Les connaisseurs apprécieront. Le vainqueur de l'an passé, Philippe Herbert n'est du coup que quatrième mais avec tout de même 209km. Quasi comme en 2011. Chez les féminines Chantal Trégou, la femme de Cahors, a été irrésistible. Elle tape un beau 200km. Et le premier marcheur n'est autre que Stéphane Paille en 180km. Là aussi les puristes ne feront pas la fine bouche... 
Le Marathon de Montauban a une nouvelle fois battu des records. Avec un peu plus de 2600 inscrits en tout sur les trois distances proposées, c'est presque plus de deux cents coureurs de mieux que l'an passé.. Aussi pour sa cinquième édition, l'épreuve tarn-et-garonnaise démontre une nouvelle fois un vrai savoir-faire qui commence vraiment à plaire à tout le monde... Car le marathon dans la capitale du 82, ce n'est pas seulement un 42 kilomètres et quelques mètres, c'est aussi et avant tout un vrai week-end de festivités et de retrouvailles... Tout commence dès le vendredi soir et en tout, si l'on devait tenir compte des courses enfants (le T'es Pas cap), des marches (nature ou du patrimoine), des courses UNSS et donc des compétitions, on n'est pas loin de frôler les 4000 participants... Les coureurs sont désormais unanimes: on ne vient pas forcément pour battre son record mais on vient parce que l'on est choyé ! Et le mot s'est répandu comme une trainée de poudre depuis quelques années. La pasta ressemble plus à un spetacle de cabaret qu'à un endroit où l'on mange simplement des pâtes. Le "marché" réservé aux concurrents une fois la ligne franchie permet de faire le plein de cadeaux et aussi de rentrer en contact avec tous les partenaires de l'épreuve. Et en plus quand la météo s'en mêle, il n'y a plus rien à redire. Le marathon de Montauban, c'est toute une municipalité qui pousse derrière ses sportifs. Madame Barège, la maire, n'a pas quitté la place de l'Esplanade des Fontaines, de toute la matinée. C'est tout dire... Côté performance, les records n'ont pas été battus cette année. Arnaud Lavandomne, le tenant du titre, qui avait placé la barre très haute l'an passé avec son beau 2h32', avait cette année emmené quelques copains de clubs dans ses bagages. Il s'en ira donc après le semi, seul, quérir un deuxième bouquet. Mais le chrono est proche des 2h37'. Son collègue donc, spécialiste de trails, Fabrice Largeois, est à six minutes, mais il a bien failli se faire reprendre dans les derniers kilomètres 
par un surprenant Patrice Bruel, à peine remis de son marathon de Barcelone qu'il a bouclé la semaine passée en 2h35'. Ouf ! Chez les féminines, Nathalie Olasgasti, pour sa première tentative sur la distance depuis près de cinq ans, n'a pas laissé échapper la victoire. Elle qui est aussi spécialiste de trail et surtout de longues distances, arrive à résister au retour de Laurence Suisse, déjà deuxième en 2010. Sur le semi, là où il y avait le plus de coureurs (plus de 1200 contre 310 sur le marathon seulement !) Richard Hobby a été irrésistible. Il s'impose en 1h09'. Seul au monde. Guillaume Lacclergue est à près de six minutes, David Lorain un peu plus loin. Brigitte Goudard est lauréate en féminines. Sur le 10 enfin, c'est Jean-Baptiste Chipy, l'Agenais, qui l'emporte devant Arnaud Bessède autre habitué des lieux. Carine Grand a fait plaisir elle, au 31RG, en remportant facilement cette distance en 38'. Le vainqueur était arrivé en 32'49''... Mais le marathon de Montauban a plus d'un atout dans sa poche et s'impose désormais comme la grande classique de début d'année sur la distance. En tout cas avec un beau soleil, la fête fut magnifique, pleine... C'était le grand shwo de la course à pied !