Archives 2023//r : 2023 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre -
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Saint-Lary, cinq minutes d'arrêt. Mais pas Saint-Lary en Hautes-Pyrénées, non ! Saint-Lary petit village d'Ariège à quelques encablures de Saint-Girons. Non loin du Pic de la Calabsse qui a donné son nom à l'épreuve. On se souvient d'une édition avec une météo maussade en 2022 et moins de 200 coureurs au départ. Et bien cette année fut toute autre. A commencer par un gros soleil bien chaud (et oui il n'y a plus de saisons !) et puis surtout plus de 400 dossards distribués. Les organisateurs étaient aux anges. Aussi sur le 11km, c'est de nouveau Yann Rouch qui l'emporte. On ne compte plus ses succès dans le département. Chez les féminines, c'est Audrey Bataille qui gagne. Mais c'est sur le long, avec ses 27km et 1900m de D+, qu'il y avait le plus de monde. Et Elliot Philippou n'a pas fait dans la dentelle. Le seul à descendre sous les 3h. Et que dire de Nadège Servant qui finit 13ème au général. Ce fut donc une très belle quatrième édition du Calabass !
Gabriel Noutary aime les 100km de MIllau, c'est le moins que l'on puisse dire. 14ème en 2017, 5ème en 2018, 3ème en 2019 et puis victorieux en 2022. Avec bien sûr deux années COVID au milieu. Mais ce qu'il a réalisé en ce samedi 30 septembre sur cette édition 2023 est absolument incroyable. Malgré une météo difficile et cette chaleur écrasante qui a "cassé" pas mal de concurrents, il est parti sur des bases incroyables (2h38' au marathon) et n'a jamais vraiment faibli. Il termine ainsi en 6h58'03'' et passe pour la première fois sous la mythique barre des 7h. Il semble ainsi avoir passé un cap et marque de son empreinte cette célèbre épreuve aveyronnaise. Chez les féminines, même si on s'en doutait un peu, Sréphanie Gicquel a juste été impériale. Elle termine en 8h21, prend la sixième place au général et bat le record de l'epreuve. Cette année toride fut vraiment une année de tous les exploits !
Il a fait beau sur cette 19ème édition du Trail du Cassoulet. Très chaud même pour ceux qui partaient sur les 28km et qui ont terminé en fin de matinée voire début d'après-midi. Mais la fête a été une nouvelle fois splendide. Le site d'En Solomiac, juste en dessous de la ville de Verfeil, se prête à merveille à ce genre d'événements et les pelouses tout autour ont servi d'aires de pique-niques pour traileurs en quête de réconfort. Au menu, bien sûr, le traditionnel cassoulet. Ils étaient donc quasiment 2000 en tout entre les trois distances proposés, le cani-trail et les marches. Cela faisait longtemps que l'on avait pas fleurté avec ce record du côté des organisateurs et on sentait vraiment que ça remettait du baume au coeur de tout le monde avant d'attaquer le vingtième anniversaire en 2024 qui promet d'être grandiose. Avec ses orchestres sur le parcours, avec ses saucisses grillées aux ravitos, avec aussi quelques passages atypiques sur les tracés, le Trail du Cassoulet reste la course nature conviviale dont tout le monde rêve pour passer un bon moment un dimanche matin. Et la voix si connue d'Alain Létard au micro pouvait enclencher la remise des prix vers midi sur le podium d'En Solomiac, en plein milieu de la nouvelle aire de jeux toute neuve. Seront récompensés cette année, Eric Rivals et Annaëlle Sztenberg, leader du challenge Lévy, sur le 12km. Isabelle Perrenot et Julien Labesse eux se sont imposés sur le 19km et enfin sur le long de 28km, la Boucle du Lac, Pauline Barret et Pierre-Antoine Cueff ont été royaux !
En seulement cinq années d'existence, le Trail de la Passerelle s'est fait une place au soleil. Tout le monde désormais en a entendu parlé et rêve de pouvoir y participer. Ne serait-ce qu'une fois. Une place au soleil en ce dimanche 1er octobre, cela voulait dire ne pas avoir peur de prendre un coup de chaud. Car les températures automnales ne sont pas encore vraiment là et si à l'heure du départ, vers 7h du mat pour la longue distance de 62km, il faisait un peu frisquet, il n'en était pas du tout de même six heures plus tard quand les premiers déboulaient. Et que dire dans l'après-midi pour les courageux du milieu et de la fin du peloton. Plus de 33°C à l'ombre, oufff ! Pour autant les quatre parcours proposés présentent pas mal de portions dans les bois et forêts alentour et permettent aussi de s'en mettre plein les yeux. Le passage à la Passerelle est prévu pour tous et l'ascension du Pic de Nore pour ceux du longs parcours. Le dénivelé était bien réel, lui, sur toutes les distances. Un trail pour costauds donc. Avec plus de 1000 dossards distribués cette fois, un record pour la 5ème. Côté résultats, comme à chaque fois, il y a du gros niveau au départ. Parfois ce qui se fait de mieux dans la région même. Sur la courte distance de 12km, Clémence Bariteau s'impose en féminine mais ce fut hyper serré puisque sa rivale du jour, Betty Menier finit à six petites secondes. Romain Barthe, lui, chez les garçons avait plus de marge. Sur la distance de 18km, Aurélien PInel et Wiebke Rubke l'emportent sans souci. On notera d'ailleurs que le deuxième de la course n'est autre que Quentin Bariteau. La famille est donc repartie chargée de récompenses. Sur le 29km, Ludo Fernandez et Marie-Astrid Vrel sont au-dessus du lot. Enfin sur le long, les 62km qui passent au Pic de Nore, il fallait vraiment être costaud pour braver les températures. Aussi c'est Mathieu Cousinié, un fidèle, déjà deuxième l'an passé derrière l'intouchable Nicolas Miquel, qui l'emporte en 6h17' ! Chez les dames, pour être complet, c'est la Blagnacaise, Sandrine Da Cunha qui gagne en un peu plus de 9h. 
Le Mond'on Run se porte bien. Avec une météo idéale en ce dernier dimanche de septembre et juste après le passage à l'automne donc, les organisateurs de la désormais célèbre épreuve du sud toulousain, avaient de quoi se réjouir. Près de 500 dossards distribués sur l'ensemble des courses proposées. Et trois distances au menu. Il y en avait pour tous les goûts, toutes les envies. Sur le 5km, par exemple, C'est Nicolas Ansiaux et Anaïs Moreau qui se sont imposés. Sur la plus longue, le 18km, c'est là où ce fut le plus serré. El Habib Zoubert s'impose au final mais Jean-Phi Pereira ne fut jamais bien loin. Chiasa Casari, l'aventurière-raideuse, gagne sans souci. Sur le 10km enfin, on retrouve Hussein Khangui largement au-dessus du lot et Yasmine Allouache en féminines.
Comme à l'habitude, le dernier week-end de septembre et synonyme de Virades. Entendez par là d'une multitude de manifestations organisées un peu partout en France et dont les fonds serviront à aider à lutter contre la Mucoviscidose. En haute-Garonne, il y a avait celles d'Espanes. Avec le samedi deux courses nature et le dimanche VTT et plein d'autres événements comme un repas géant en plein air. Bref, bien évidemment, les classements sont secondaires dans ce cas-là mais cela n'a pas empêché quelques poignées de courageux de concourir sur un 17 et un 11km avec un premier départ à 17h.
La brume matinale dans le coteaux condomois présageait d'une belle journée. Et ce fut le cas lors de ces Foulées Condomoises qui se sont courues sous une météo idéale. Le parcours, composé de belles montées et de belles descentes était parfaitement balisé et la cinquantaine de participants ont beaucoup apprécié l'organisation. Cinquante oui, seulement... On constate que les courses gersoises se vident de leurs participants même si de grands événements régionaux ont, forcément, attiré des habitués de ces foulées. N'empêche qu'Arnaud Rossi de la SA Condom a bouclé ces 10,5 km à 16 km/h et a remporté la course devant Gwenolé Le Breton de l'AC Auch et Naël Linard, lui aussi de la SA Condom. Anne Martinelli, sociétaire aussi de la SA Condom l'emporte chez les filles ce qui fait un beau doublé pour le club organisateur. Emeline Chaulet de Boé et Patricia Bertuzzi du Running Club Eluzate complètent le podium féminin. Après la remise des prix composée de produits locaux, chacun a pu bénéficier d'un apéritif autour du Stade de Condom.
Nul n’est prophète en son pays, croyez-le. Pourtant, à 23 ans, Roméo Boisivon a démontré qu’il restait le maître sur ses terres. Sur les 35 kilomètres de la dixième édition du trail du Cagire qui, d’un départ donné à Aspet, propose l’ascension du point culminant commingeois éponyme, l’Izautois s’est moqué de toute la concurrence, profitant de son talent et de sa bonne connaissance du terrain pour reléguer le premier de ses poursuivants à presque vingt minutes. Quand on sait qu’il y a trois mois, victime d’un accident du travail qui l’a gravement touché à l’abdomen et d’une hémorragie interne, hospitalisé en soins intensifs, les médecins déploraient un pronostic vital engagé, on peut comprendre que l’exploit du petit Commingeois dépasse tout entendement. « Une revanche sur le destin », clame sa maman éplorée sur la ligne d’arrivée où, tout un clan, membres de la famille et nombreux amis attendaient avec beaucoup d’émotion le jeune prodige avant de pouvoir l’étreindre. Il ne faisait pas chaud, dès potron-minet quant le départ de la course a été donné. D’un ciel résolument couvert au départ, l’ascension du pic de Cagire a plongé les 300 et quelques participants dans un de ces brouillards les plus déroutants. Les concurrents les moins couverts ont pu souffrir du froid et le soleil s’est bien gardé de ne pas arriver dans les premiers. Loin derrière Roméo Boisivon, auteur d’une belle remontée au classement dans la descente, Maxime Bodet, 9ème au sommet, a chipé la seconde place à Erwan Salmon. Chez les féminines, Mélanie Finas devance Estelle Andrieu et Fanny Belucci. Ils étaient aussi plus de trois cents concurrents sur la distance de 17 km moins exigeante. Sur un parcours légèrement modifié, le Toulousain Clément Mialhès a longtemps lutté dans les parties ascendantes avec Hugo Stephan avant de pouvoir le lâcher dans la redescente. Clément précède de deux minutes Hugo sur la ligne d’arrivée. Laurent Taurines complète le podium. Avec une vilaine plaie à la cuisse due à une chute de vélo, Jeanne Bertier est d’abord partie doucement. Et comme la douleur était gérable, la Bagnéraise a remonté une à une toutes ses concurrentes et précède Justine Tète et Nikita Junca sur le tapis rouge finissant. Dixième édition oblige, la fête ne s’arrêtera pas là. Banquet, bandas et disco attendent le petit monde de la course à pied jusque tard dans la nuit.
40 coureurs répartis également sur le 7 et le 12 kilomètres du Galop'in Vic 2023. C'est peu et c'est dommage car tout est réuni du côté de Vic-Fezensac pour une belle soirée de course à pied. Un circuit très bien tracé par Fabrice Antoniolli et son équipe, une belle ambiance puisque c'est la fête du bourg et on rajoute des jolis lots pour les récompensés comme à l'inscription. Malheureusement il doit encore manquer quelque chose pour que les coureurs gersois se déplacent... N'empêche que ce soir, Loic Derrey a gagné le 12 km devant Jérôme Allenne-Ten d'Oxygène 32 et Quentin Solon du club organisateur Les Galopins du Fezensac. Morgane Brajon de la SA Condom l'emporte chez les filles, suivie de Patricia Bertuzzi du Running Club Elusate et de Gwendoline Paulus. Le 7 kilomètre est gagné par Anthony Moulie de Moorlasapied et Cyrielle Elorza de l'AC Auch. Une belle remise des récompenses a suivi la course et un repas était servi pour ceux qui le souhaitaient.
Le Trail du Marguestaud s'implante petit à petit dans le paysage régional des trails. Au fil des ans, le nombre de coureurs ne cesse d'augmenter et Jean-Michel Dorlanne et toute son équipe mettent à chaque fois le paquet pour que tout le monde en reparte ravi et fasse ainsi passer le message. Le bouche à oreille fonctionne à plein et cette année ils étaient carrément plus de 500 à avoir pris un dossard. Trois cent sur les courses avec trois distances au programme cette fois et le reste sur les marches. Une sportive et une randonnée. C'est vrai qu'à Galembrun dans ce petit village reculé du côté de Launac dans la Haute-Garonne, tout est fait pour le bonheur du traileur. Des parcours magnifiques dans une campagne qui n'attend que d'accueillir des amoureux de la nature, une petite place du village comme une zone de détente, de ravitaillement de remise des prix. Bref un endroit vraiment sympa pour un moment hors du temps. Côté résultats, puisque certains étaient tout de même venus pour en découdre, sur le 12km qui en faisait plutôt 13, on retrouve Patrice Ros qui revient en belle forme et Ysmaine Allouache en féminines. Sur le 22km, Annaëlle Sztneberg conforte sa place de leader au challenge Lévy puisque la course en faisait belle et bien partie. Eric Rivals était impérial sur cette même distance. Enfin sur le long de 30 km, Grégory Page et Karine Fabre s'imposent logiquement !
Cela fait partie, indéniablement, des petites épreuves que l'on affectionne tout particulièrement quand on est passionné de course nature. Au début c'est l'histoire d'une poignée de passionnés de trail. Evidemment. Mais des vrais de vrais, de ceux qui pratiquent depuis quasiment le tout début. Et quand ils décident, du côté de Saint-Girons, de faire profiter de leur parcours d'entraînement aux autres et bien ça donne forcément de belles choses. D'autant plus qu'au fil des ans, les tracés sont arrangés, modifiés... ils évoluent et on y découvre donc forcément quelques surprises. Ce Trail de Couserans a donc tout pour plaire. Et la météo qui était idéale cette fois a mis le sourire aux lèvres de tous les bénévoles. Près de 80. Côté coureurs, il y en avait plus de 300 sur les deux distances proposées, un 30 ou un 11km. Et puis bien sûr pas mal de marcheurs et d'enfants. Bref le succès est là. La sauce a prise à la plus grande joie de Michel, l'organisateur principal. Au niveau des résultats, on se souviendra que c'est un junior, Anotoine Puydebois qui remporte le 11km et Manon Maury en féminines. Et que sur le long, Paul Cornut a été impressionnant alors que Cécile Cambus est toujours bien là. Motivée comme au premier jour !
En pleine préparation d’une qualification aux Jeux Olympiques sur Marathon, Mehdi Frère s’est souverainement imposé sur la longue distance, 22 km, proposée par la Ronde Cérétane, dimanche. Second l’an passé, le Parisien a tenu à honorer de sa présence une épreuve qu’il affectionne tout particulièrement pour la qualité de son organisation et l’ambiance particulière qu’elle affiche. Partageant les mêmes commentaires, Marie Nivet, athlète de l’équipe de France de courses de montagne, a profité d’un séjour de préparation à Font-Romeu pour s’aligner au départ, ravir la dixième place au scratch et survoler toute la concurrence féminine. Jonathan Genthon et Fatiha Abdouche remportent le dix kilomètres. Abdelhamid Zerrifi, encore lui, infatigable, remporte pour la dix-septième année consécutive le 5 kilomètres de l’épreuve catalane. 
A Lavaur, petite bourgade du Tarn, on connaissait la Nocturne de Jacquemard qui se disputait traditionnellement le 14 juillet. Celle-ci a disparu du calendrier mais il était écrit que la course à pied ne disparaîtrait pas aussi facilement du secteur. Ainsi l'association Réso Pro qui regroupe artisans, commerçants et autres sociétés de la ville a décidé d'organiser un grand rassemblement sportif et culturel en ce samedi de septembre. Le Lavaur Run Urbain était né...
Burlats, vous connaissez ? Mais si, mais si, c’est un petit village médiéval non loin de Castres. Au fin fond du Tarn. C’est un endroit idéal pour les amoureux de nature et de tranquillité. Certains diront aussi que c’est le paradis des traileurs. C’est assez logique donc, que Marine, l’organisatrice en chef, enfant du pays et elle-même pratiquante, ait eu l’idée d’y organiser une épreuve. Le choix des parcours est presque infini. Et avec ces longues portions en sous-bois et proches de la rivière, cela permettait à tous de ne pas trop souffrir de la chaleur. Même si à l’heure du premier départ, le 42km vers 8h, il ne faisait que 12°C au thermomètre. On notera d’ailleurs que sur cette distance, Niels Oger, bien remis visiblement de son escapade au Montcalm à la mi-août, s’impose devant son copain de club. Il bat aussi le record de la course jusqu’alors détenu par Nicolas Miquel qui finira troisième cette fois. Chez les féminines, c'est Marie-Hélène Bidart qui finit en tête. Sur la distance intermédiaire de 27km, Robin Thomas a fait parler la foudre et ne sera jamais inquiété alors que Melanie Finhas s'impose chez les dames. Et enfin sur la courte distance, Adrien Rambaud qui avait remporté le 27 l'année d'avant, réussit à l'emporter en battant aussi le record de ce 11,5km de quelques secondes. Emmanuelle Maillard enfin est la lauréate chez les filles. Pour être complet. Tout cela se finissait devant un verre sur la petite place du village où quelques stands d'art artisanal et de nourriture colorée s'étaient installés...
Si l'on devait donner une définition au mot "trail", sans aucun doute on penserait au Trail des Cascades pour l'écrire. Là-bas tout est simple, convivial, bon enfant et aussi pittoresque. C'est un certain d'esprit en fait. L'homme à moustaches au micro et le coeur sur la main à chaque bifurcation de sentiers. Roquefort les Cascades est un tout petit village reculé d'Ariège. Un village avec de belles valeurs qui se fondent dans celles des amoureux de course nature. On se donne sans compter pendant la course et puis on partage sans retenue une fois la ligne franchie autour d'un verre. C'est aussi simple que ça et ça fonctionne bien avec près de 500 partants en tout sur les trois distances proposées. Bien sûr, il y a chaud en fin de matinée ou en début d'après-midi pour ceux qui ont pris un peu plus de temps, mais chacun promettait déjà très vite d'y revenir et d'en parler autour de soi.... Au niveau des résultats, une nouvelle fois, il y a eu un beau plateau. Surtout sur la longue distance de 27km, c'est un vacancier de passage, Till Löhmann qui l'emporte. Et Perrine Vernooij en féminines. Sur la distance intermédiaire, ce sont Paul Cornut et Charlotte Emourglaon, enfin sur la plus courte des distances proposées, le 12km, Renaud Candebats et Christelle Pascal inscrivent leur nom au palmarès !
Un peu plus de 2000 dossards. L'Epicurienne Trail a de nouveau fait le plein en ce bouillant samedi de septembre. Trois distances en course et une en marche. Et des sportifs venus là surtout pour en profiter et déguster quelques bons petits "mets" aux ravitos ainsi que de l'ambiance de feu de cette épreuve hors-normes. Avec cette année un parrain du nom de Jérôme Bellanca, champion de 100km bien connu des Toulousains, l'Epicurienne pour sa septième édition n'a pas de souci à se faire quand à son succès potentiel. Désormais tout le monde y vient les yeux fermés et l'estomac en alerte. La maison Larroque qui s'occupait pour l'occasion de quelques ravitos du parcours a sorti le grand jeu avec, entre autres, des "Wrap canard" et des "pastillas de poulet", le tout agrémenté de quelques breuvages magiques... Bref sous le soleil écrasant, la fête de la course à pied était de nouveau réussie. Du côté des résultats, puisque quelques uns étaient fout de même venus avec cette idée d'aller le plus vite possible, on retiendra que sur le petit parcours de 11km., Clément Delbès a pris la poudre d'escampette d'entrée et ne sera plus jamais inquiété. Agathe Emmanuel gagne cette distance. Sur le 16km ce sont Stéphane Champeaux, l'habitué et Céline Machado qui s'imposent et enfin sur le plus long de 21km, Sylvaine Cussot qui n'a raté que rarement ce rendez-vous gagne à nouveau et Julien Bouchu chez les hommes. Mais mon Dieu qu'il a fait chaud !!
Malgré un premier week-end de septembre assez chargé en courses dans le département (sans parler de la région), le Venerque Trail s'en tire plutôt bien avec 500 dossards distribués. Deux distances étaient proposées en plus d'une marche. La météo était également de la partie. Sur le 11km, Laurène Varcellone et Corentin Cambonie tirent leur épingle du jeu. Alors que sur le 20km, on retrouve avec plaisir Anthonin Irgane le moustachu qui n'a pas eu à forcer son talent pour l'emporter avec près de cinq minutes d'avance sur son principal rival. Il boucle son parcours en 1h18'25''. Pas mal avec le dénivelé !
Ce matin c'était la première édition de la Ronda des Coudous à l'Isle-Jourdain et on peut dire que c'est réussi. 138 coureurs auxquels il faut rajouter les marcheurs et les enfants. A l'arrivée il n'y avait que des éloges, tant sur le circuit de 14 km parfaitement balisé que sur les ravitaillements copieux avec même du magret en haut de la côte "du magret". Des passages dans les bois, sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, et deux passages dans des petits tunnels rajoutant un peu de piquant. L'ambiance était chaude et quand on sait que l’ensemble des bénéfices de la journée seront reversés au profit de l’association OwennWarriorTeam, créée à la suite du combat de Owenn atteint d’une tumeur cérébrale du nom du gliome des voies optiques, chacun était un peu plus fier de participer. Le régional de l'étape Hervé Rogeon de Tracks Athlé l'Isle-Jourdain remporte la course à 16 km/h devant Julien Lacomme de Monterstruc qui a eu du mal à retrouver sa vitesse après sa victoire sur le Grand Raid des Pyrénées il y a une semaine. Pierre Duran d'Oxygène 32 monte sur la troisième marche du podium. Delphine Touzouli gagne assez facilement chez les filles. Marina Martin-Stoiljkovski de l'AC Auch prend la seconde place et Marjorie Filhos de Tracks Athlé L'Isle-Jourdain la troisième. 
La Forti'che du Lauragais c'est la petite course de rentrée dont on rêve tous. Une belle ambiance, une convivialité sans faille et puis aussi une organisation qui connait son affaire. Bref tout le monde aime à se retrouver pour la rentrée sur ce trail qui attire donc de plus en plus de monde. Cette année, ils étaient plus de 250 à avoir pris un dossard entre un 5 et un 11km. On retiendra donc que sur la courte distance, ce sont Chrystel Sarda et Dorian Teisseyre qui l'emportent. Alors que sur le plus long, Eric Rivals a dominé les débats entre 40'18'' en mettant plus de trois minutes à son dauphin du jour. Chez les féminines c'est Sandrine Hollande qui est lauréate. C'était la septième édition de l'épreuve.