Archives 20222022 : Janvier - Fevrier - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Aout - Septembre - Octobre - Novembre - Decembre - 2023 : Janvier -
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Du côté de Cazères, on aime le trail. Et ce depuis toujours. On se souvient que même en période difficile de virus, les organisateurs avaient tenu à mettre sur pied une édition. Mëme de façon réduite. Cette année, bien sûr, tout est rentré dans l'ordre depuis longtemps et les parcours proposés sont toujours d'une beauté très champêtre et bucolique. Pour changer, une distance de 30km est revenu dans le programme. Et le 20km de l'année précédente a été revu à la baisse avec 18. Au niveau participation, on est resté dans les mêmes bases que d'habitude avec en tout près de 500 coureurs et pas mal de marcheurs pour atteindre au final es 600 participants. Côté météo, c'était donc idéal avec une température fraîche en début de matinée mais pas de pluie. Côté résultats enfin, on notera que Arnaud Baîllela qui avait gagné la veille à Vacquiers s'impose de nouveau. Sur le 10km cette fois à la bagarre avec l'éternel Jérôme Amathieu. Chloé Labarrère gagne cette distance en féminine. Sur le long, c'est Mohamed Idrissa qui l'emporte avec une minute d'avance sur Anthony Villot. Enfin Eric Rival, de nouveau, et Christiana Orta Talens, sont les lauréats incontestés du 18km. Bien sûr, le fameux ravito de fin de course faisait de nouveau mouche. Certains viennent surtout pour ça... un véritable buffet assez incroyable comme on en fait rarement. A voir de ses propres yeux au moins une fois !
Le Trail des Vendanges qui s'est disputé ce matin du côté de Vacquiers dans la Haute-Garonne a réuni une centaine de concurrents tout juste répartie sur deux distances. Une 16,5 et un 10,5 kilomètres. Mais bien sûr, il faut y rajouter quelques dizaines de marcheurs plus motivés que jamais. Ce n'est pas énorme mais sûrement la qualité ici remplace la quantité, tant les coureurs y sont bien reçus. L'association des parents d'élèves de la petite bourgade avait lancé cette idée de trail en 2017 pour essayer de récolter des fonds pour les écoles justement. L'épreuve est donc assez neuve si l'on prend en compte les années COVID où elle n'a pu se dérouler. Sur la longue distance, Arnaud Bellaila l'emporte sans réelle opposition. IL compte plus de six minutes d'avance sur la ligne. C'est sa troisième victoire en quatre participations. En féminines, Bénédicte Gauthier est sacrée... Alors que sur la petite distance, ce sont Simon Danieli et Clémentine Demont qui auront été les plus rapides !
C'est déjà le retour dans le Couserans du côté de l'Ariège. Après le Trail du même nom la semaine d'avant, les traileurs passionnés pouvaient se retrouver cette fois pour le Calabass Trail, troisième du nom. Et ils furent en tout environ 150 à s'y rendre. Avec une météo finalement pas si mauvaise qu'annoncée la veille. Et sur des parcours véritablement splendides mais plutôt rudes, avec notamment 2000m de D+ pour le 27km du programme, on aura assisté à chaque fois à des bagarres qui auront fini en main dans la main. Sur le 11,5km, Yann Rouch et Léornard Dupont terminent ensemble en 58'22'' et sur le 27km, Pascal Clautres et Staffan Jacob s'imposent main dans la main également en 3h04'. Chez les féminines, on retiendra aussi que Manon Maury a été impériale sur la petite distance en se classant sixième au scratch !
C'était donc le cinquantième anniversaire des 100km de Millau. Cinquante de légendes et d'histoires. A cette occasion tous les anciens vainqueurs de l'épreuves, retrouvés bien sûr, étaient conviés la veille de l'épreuve à un pot de l'amitié autour d'échanges sympathiques et animés. On a pu, par exemple, discuter de nouveau avec un certain Serge Cottereau, véritable légende vivante de l'ultrafond tricolore, précurseur aussi des courses sur route en France. Les 100km ont également fait peau neuve, on a pu le constater avec un nouveau site internet et une page Facebook enfin mise à jour. Côté performances, avec une météo pour le moins propice, la pluie n'étant pas vraiment de la partie, ils furent 2000 en tout à avoir pris le départ. 1750 sur le 100Km et le reste sur le marathon. Sur ce dernier, on retiendra que Nicolas Luxembourg s'impose en 2h38' en battant le record de la distance et que Wiebke Rubke l'emporte en féminines après une belle bagarre face à Marlène Viguier. Sur le 100km donc, c'est un grand Gabriel Noutary qui a fait son show. Il se retrouve très vite seul au monde et passe au marathon en 2h44'. Il ne faiblira pas et son écart avec l'arrière ne cesse de croître.... Il l'emporte au final en 7h04'51'' ! Evelyne Cance remporte la mise en féminines en 8h52' largement devant la deuxième. Elle termine même 17ème au général !
Le Trail du Marguestaud dans le sud de Toulouse, cela fait quelques années qu'une poignée de passionnés s'active pour faire connaître leur terrain d'entraînement, leur petit coin de paradis. Et la recette commence à prendre puisqu'au fil des années, le rendez-vous est de plus en plus attendu. Bien sûr en ce week-end de mi-septembre, le calendrier régional était particulièrement chargé mais ce sont tout de même plus de 300 coureurs qui se sont répartis sur l'une ou l'autre des distances proposées. Et le choix était grand. Quatre courses et deux matches, autant dire que chacun y trouvait son compte. Et l'ambiance sous ce soleil pas trop chaud était des plus conviviales. On notera donc que sur la longue distance de 42km, où ils n'étaient tout de même pas très nombreux au départ, c'est Aymerick Villar qui l'emporte en 3h37'. Magali Alquier chez ces dames.
Un groupe de passionnés. Comme souvent. Un groupe d'amis aussi. Au Spiridon du Couserans, on aime se retrouver aux entraînements, on aime se retrouver sur des courses. Ici ou là dans le département de l'Ariège mais aussi partout où les épreuves sont conviviales et où l'on s'y sent bien. Aussi quand Michel Bauzou a décidé de se lancer dans l'organisation d'un trail, c'était il y a quelques années déjà, il a décidé de faire les choses en grand. Avec deux parcours magnifiques mais pas faciles tout autour de Saint-Girons. Et ce terrain de jeu-là est vraiment unique. Bercé entre les montagnes non loin et la campagne à côté. Il y a de quoi se faire mal aux cuissots avec quelques belles bosses, il y a de quoi en prendre plein les yeux aussi, surtout quand, comme ce matin, il a fait beau mais pas chaud. Idéal. Ce sont donc plus de 250 dossards qui auront été distribués. Sur le 12km, Nicolas Fernandez, l'adepte de la route, s'est pourtant baladé. Il l'emporte sans surprise alors que Nathalie Bordes Durrieu a été impériale en féminines. Enfin sur la distance reine de 22km, les bagarres font plus serrées. Manon Maury l'emporte bien mais Cécile Cambus n'est pas loin derrière. Roméo Boisivon gagne aussi mais ce fut après un âpre combat face au vieux lion, Stéphane Cavalca. Bref sur le Trail du Couserans, tout le monde s'est régalé !
Décidément, les courses gersoises ne voient pas le nombre de participants augmenter et ce matin, seule une quarantaine de coureurs ont fait le déplacement à Vic-Fezensac pour le premier "Galop'In Vic", la nouvelle course organisée par les Galopins du Fezensac. C'est dommage car tout était réuni pour que la fête soit belle, et elle l'a été. Un très beau parcours qui, nous amène dans les bois dans lesquels on zigzague, avec de belles montées, mais aussi un peu de bitume. L'accueil y était chaleureux et convivial. On notera la participation de Jean Buttner, lui qui faisait toutes les courses du Gers à l'époque et qui a tenu à courir chez lui encore ce week-end, du haut de ses 85 ans. Bravo à lui ! Sur la longue distance, Julien Luzy d'ACM Running l'emporte, suivi de Julien Lacomme de Montestruc et de Guillaume Daurignac de SN Karotec. Marie-Laure Dumergues gagne chez les filles devant Cyrielle Elorza et Alice Milhas, toutes deux de l'AC Auch. Sur le 7 km, Laurent Sancey l'emporte chez les garçons et Christine Fadelli, seule féminine, gagne chez les filles.
Après une première édition un peu difficile dans la période COVID, le moins que l'on puisse dire c'est que le Trail en Terre d'Oc a fait peau neuve et a ainsi pu trouver son public. La deuxième édition, disputée donc du côté de Burlats dans le 81 et non plus à la Salvetat, a fait le plein avec près de 500 dossards distribués sur les trois distances. Et tout le monde avait vraiment l'air ravi de ces parcours plein de surprises et de petits pièges. Un vrai régal. La pétillante Marine Kwasnik aux manettes avait bien fait les choses et étant elle-même traileuse, elle a su taper dans le mille. Gageons que cette épreuve deviendra une classique désormais du calendrier. Surtout qu'elle met en avant les trésors du terroir sous toutes ses formes. Sur le 42km, on retiendra que Nicolas Miquel s'impose de nouveau après sa victoire la semaine d'avant de l'autre côté de ce même département et surtout la veille du côté du Trail des Cascades en Ariège. Clémentine Auriac a été la plus à l'aise en féminine. Sur le 23km, Adrien Rambaud et Marie-Hélène Bidart s'imposent sans souci alors que sur la petite distance de 12km, ce sont Max Rascao et Céliane Lopez qui l'emportent. La suite à la troisième édition donc !
Mille coureurs répartis sur deux distances, un 20 et un 13 km et puis presque autant de marcheurs. L'Epicurienne Trail se porte bien. Et dans la région, on n'en a pris l'habitude. C'est devenu même la grande classique de la rentrée. Toujours calé début septembre. Avec encore, et le plus souvent, une belle météo. Pas trop chaud par rapport à la canicule de l'été mais tout de même suffisamment dans l'après-midi pour ne pas être si facile. Mais le plus souvent, les coureurs ne viennent pas forcément pour taper un chrono mais bien pour en profiter pleinement. Car l'Epicurienne, comme son nom l'indique bien, est un rendez-vous de gourmands, voire de gourmets. Qui n'a jamais dégusté une petite verrine au foie gras saumon a raté quelque chose dans sa vie de traileur. Même les chefs étoilés sont de la partie à Castelnau. Ou presque. Ce n'est pas pour rien que l'association organisatrice s'appelle Castelnau Run Bike and Plancha (CRBP). On a tout compris. Malgré tout on retiendra que sur le 13km, Pierre Crésut et Hélène Lecamp s'imposent et que sur le 20km, Corinne Degois en 1h45' et Christophe Lenfant en 1h26' auront été les plus rapides. Vivement la prochaine édition !!
L'année dernière, pas mal de monde avait critiqué les parcours des Sportives Ornézanaises mais l'équipe organisatrice avait mis un livre de doléances dans lequel chacun pouvait exprimer ses idées. Visiblement il a été bien lu et cette année, tout le monde était ravis de ces nouveaux tracés joliment préparés et très bien balisés même s'il y a encore eu quelques petits couacs pour certains. Les ravitaillements étaient suffisants même s'il a fait encore bien chaud dans les vallons gersois. Malheureusement, peu de participants avaient fait le déplacement, sans doute dû au calendrier qui voyait une autre grosse épreuve dans le département, mais aussi à la Foire du sport et de la culture qui se déroulait ce week-end du côté d'Auch. Sur le 22 km, c'est un doublé d'Oxygène 32 qui arrive en tête avec Pierre Duran qui l'emporte devant Loïc Derrey qui revient en forme après sa blessure l'ayant éloigné de la course à pied un moment. Patrick Cazaux complète le podium. Alexia Cenac, seule féminine sur la distance remporte bien sûr l'épreuve. Le premier homme du 14,5 est un habitué des podiums en la personne de Jérôme Allene-Ten d'Oxygène 32. La première femme Caroline Kraut des 1% l'Equipée sauvage. Enfin, sur le parcours de 9,5 km, Dorian Solon des Galopins du Fezensac remporte l'épreuve. Aucune fille n'était engagée. Après une remise des récompenses fort sympathique, un pot de l'amitié était proposé.
Le Girou Trail n'a que trois années d'existence. Cela aurait pu être plus mais bien sûr la COVID est passé par là. Pourtant, à l'heure où les "petites" courses peinent à remplir leur rang, le trail tarnais n'a pas ce souci. Le succès était bel et bien une nouvelle fois au rendez-vous. 250 coureurs sur le 13km, près de 120 sur le 21 km et on ne parle même pas des dizaines d'enfants et de randonneurs. Bref c'est une épreuve comme on les aime avec la convivialité, la bonne humeur et des parcours champêtres à souhaits mais exigeants plus qu'il n'y parait. Cela aura permis de retrouver en tout cas un Nicolas Miquel en bonne forme. Il remporte la longue distance assez facilement avec en effet près de 11' sur Paul Rochefort, son dauphin du jour. Malgré un petit souci de balisage sur le parcours.
C'était la 28ème édition des Boulevards de Colomiers et comme à l'habitude dans la région toulousaine, c'est la grande course de la rentrée. Celle où on se retrouve avec plaisir après un long été caniculaire et où l'on revient sur ses exploits passés ou ses projets à venir. Bref c'est surtout un grand moment de convivialité et de partage, surtout quand tout le monde patiente sur le parvis de la mairie, autour du grand ravito géant, en attendant la remise des prix. Les membres du Mac'Adam Colomiers connaissent bien leur affaire depuis le temps. Mais ils sont toujours la banane et sont heureux de proposer une épreuve bien huilée et surtout orchestrée. Quand on vient à Colomiers sur ce parcours très rapide et mesuré, on sait bien à quoi s'attendre. Les coureurs aguerris, en manque de repères à ce moment-là de la saison qui redémarre juste en athlé, ne s'y trompent pas. On a toujours quelques cadors de la région. Et cette fois, sur les 1000 dossards distribués en tout, ce sont Said Mhaimer (Montauban) et Emeline Gruau (Balma) par exemple. Tous deux s'imposent assez nettement et ne sont pas très loin des records de l'épreuve malgré la chaleur. Simon Prady et Éric Rivals complètent le podium sur le 10km. On notera aussi que Hervé Rogeon et la jeune espoir Clara Prévot s'imposent sur le 3km.